samedi 5 septembre 2009

Introduction à la sixième journée de l'Université Intégrale du 24 Octobre 2009


CIVILISATIONS DU FUTUR

ET

FUTUR DES CIVILISATIONS


Gandhi souligne « un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse ».

Ne nous laissons pas impressionné par les craquements et l’effondrement des arbres morts qui s’effondrent autour de nous. Regardons les jeunes pousses qui annoncent les caractéristiques des civilisations émergentes à venir.

Lors de la première journée de l’Université Intégrale le 28 février 2008 nous avons explicité ce que nous entendons par l’approche intégrale.

Pour cela nous avons fait référence aux trois grands types d’entrée utilisés dans tout travail encyclopédique :

· Nous avons premièrement attiré l’attention sur des concepts et des notions qui nous paraissent structurer l’approche intégrale.

· Deuxièmement, nous avons nommé un certain nombre d’auteurs reconnus pour avoir apporté des éléments essentiels à l’approche intégrale.

· Troisièmement nous avons constitué une liste de lieux emblématiques où l’approche intégrale depuis un siècle s’est développée d’une manière singulière.

Pendant cette première journée nous avons affirmé notre volonté de construire l’Université Intégrale de Paris sur les bases d’une logique de dialogue ouvert, international où tous les courants de l’approche intégrale dans sa diversité épistémologique puissent s’exprimer.

Dans la deuxième journée le 16 Octobre 2008 nous avons focalisé notre attention sur la question centrale de la cohérence entre la pensée et l’action :

Comment intégrer la pensée intégrale ?

La journée était construite autour de témoignages de personnalités intégrales exceptionnelles qui ont expliqué comment ils ont découvert l’approche intégrale, comment ils l’ont appliquée et comment ils l’ont développée à travers des actions et créations significatives .

La troisième journée le 13 Janvier 2009 a eu comme thème l’éducation.

Quelles sont les caractéristiques d’un « Bon, Beau, Vrai » enseignement intégral ?

Ouverture et compréhension des autres cultures par l’intérieur.

Respect de la singularité de chacun et de son altérité.

Education physique et mentale, mais aussi éducation du cœur et de l’esprit à travers le sport, la science, l’art, la philosophie et la spiritualité.

Capacité critique à « méta analyser » la démarche analytique que l’on met en œuvre.

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La quatrième journée le 10 Mars 2009 a eu comme thème la crise.

Comment répondre de manière positive, durable et intégrale à la crise systémique contemporaine dans ses dimensions économique, sociale et écologique ?

Quelles sont les grandes caractéristiques de la crise systémique contemporaine dans ses dimensions, économiques sociales et écologiques ?

En quoi cette crise est différente des précédentes et quel diagnostique en faire ?

Les réponses apportées aujourd’hui dans le monde et en France sont-elles pertinentes, adaptées et suffisantes ?

La cinquième journée le 23 Juin 2009 a eu comme thème le développement durable avec pour titre : Sociétés durables et écologie intégrale : de la vision à l’action.

L’heure n’est plus uniquement aux bilans. Les premières initiatives telles que « Limits for Growth » de Meadows (1973), le Manifeste du Club de Budapest pour une conscience planétaire (1980) et plus récemment la « Déclaration de l’état d’urgence » d’Ervin Laszlo (février 2009) nous donnent un aperçu international et synthétique des faits et diagnostics que l’on peut faire en matière de durabilité sur l’ensemble de la planète.

La question est à présent de sortir de nos contradictions pour déployer une réforme de nos modes de pensée et de vie. C’est bien avec cette ambition que nous avons placer cette cinquième journée de l’Université intégrale: replacer l’homme au cœur du vivant et dégager des pistes de congruence entre la vision et l’action pour accélérer la transformation de nos sociétés vers la durabilité.

Nous avons cherché en particulier à répondre aux questions suivantes :

Pourquoi le développement durable, tel que défini par les instances internationales (environnemental, social et économique), nous confronte-t-il à nos contradictions ?

Comment arbitrer les priorités entre écologie, économie et société ?

Quelles sont les pistes de gouvernance pour mettre en œuvre la durabilité ?

Comment le vivant peut-il inspirer notre vision du monde ?

Comment repenser et organiser notre agriculture afin qu’elle produise en quantité suffisante l’énergie vitale à l’être humain

Quels sont les éléments clés d’une vision durable ?

Comment agir de manière écologique et intégrale au quotidien ?

Que voudrait alors dire écologie intégrale ?

La sixième journée de l'Université Intégrale le Samedi 24 Octobre 2009 au Forum 104 a pour thématique : CIVILISATIONS DU FUTUR ET FUTUR DES CIVILISATIONS

Nous sommes dans une période de transformation économique, sociale et écologique. Il devient important de développer des solutions pour survivre à court terme sans négliger de construire un futur durable et d'investir sur le long terme. Comment civiliser le futur ?

A quoi ressembleraient les possibles civilisations du futur ?

Nous explorerons :

· Quelles sont les nouvelles approches en matière économique, sociale et écologique ?

· Comment civiliser le futur pour le rendre enthousiasmant et redonner à l'humanité confiance dans son destin ?

· A quoi ressemblerait, une civilisation qui réponde aux enjeux actuels par des solutions innovantes ?

· Des initiatives nouvelles, parfois relevant de nouveaux paradigmes, se manifestent un peu partout à travers de multiples initiatives et expérimentations : comment les expliciter et les catalyser ?

Cette journée nous donnera des clés pour impulser le changement de manière active : créative, concrète et enthousiaste !

Les différentes interventions et nos échanges seront l'occasion de réfléchir et d'expérimenter ensemble la façon dont nous pouvons utiliser la pensée intégrale aux niveaux individuel et collectif pour une transformation intérieure et extérieure.

Edito alfalfa numéro 1 : Bienvenue dans l’univers d’alfalfa, le magazine des alternatives contemporaines

Edito alfalfa numéro 1

Septembre / Octobre 2009

Bienvenue dans l'univers d'alfalfa, le magazine des alternatives contemporaines. Un magazine qui vous permet de porter un autre regard sur le monde. De questionner et de comprendre les enjeux actuels sans se laisser gagner par la déprime ambiante. De se pencher sur ce qui va bien, pour enfin voir le verre à moitié plein.
Alfalfa veut croire avec vous qu'un autre monde est possible. Que si chacun de nous agit à son niveau et dans la mesure de ses possibilités le monde n'en sera que meilleur. Pas besoin de grands discours ni de personnalités connues. C'est en chacun de nous que le changement doit s'opérer.

Nous allons découvrir ici des individus passionnés, et tout aussi
passionnants, qui tentent de changer les choses. A leur niveau
individuel tout autant que dans des démarches plus collectives. Des individus qui agissent au quotidien, sans prétention, ni caméras. Des personnes qui vivent leurs idées, tout simplement.

Pour ce premier numéro, nous sommes partis à la recherche de toutes ces alternatives – mais il y en a tellement d'autres ! – qui peut-être feront le monde de demain. Carburant aux algues, toitures végétales, textiles en chanvre ou en bambou, protéines de soja… C'est toute la logique de notre système qui se retrouve en pleine mutation. Toutes ces initiatives nous ont amenés à nous poser cette question : l'avenir sera-t-il végétal?

La vegetal team d'Alfalfa s'est donc lancée à la poursuite de ces végétaux du futur en tentant de comprendre leurs bienfaits mais aussi les polémiques qu'ils alimentent.

Bonne lecture 100% végétale


Vous pouvez télécharger un extrait du numéro 1 ici!







2100 "Créer des monnaies régionales pour traiter la crise globale" Compte-Rendu de la Rencontre sur l'Utopie N°32


 
Le compte rendu de la "Rencontre sur l'utopie N°32" organisée le 13 mai dernier et qui avait pour thème : "Créer des monnaies régionales pour traiter la crise globale" 
 Cette rencontre était organisée conjointement avec l'Ecole de Paris du Management et l'IRE (Initiative Internationale pour Repenser l'Economie).
Ce compte-Rendu a été préparé par l'Ecole de Paris du Management et est disponible sr demande : mail : nathalie-deschamps@wanadoo.fr
 
 Cette réunion était organisée autour de M. Bernard LIETAER : Research Fellow à l'Université de Californie à Berkeley, ex-haut fonctionnaire de la Banque Nationale de Belgique, architecte monétaire qui a contribué à la création de l'ECU (le mécanisme de convergence vers l'Euro), auteur du livre récemment sorti à Paris : « monnaies régionales : Des Nouvelles Voies vers une Prospérité Durable ». Plus de renseignements sur : www.lietaer.com.
 
Présentation de la conférence de Bernard LIETAER :
La crise bancaire et financière fait la une des médias depuis des mois. Pourquoi est-elle plus grave que les précédentes? Quelle en est l'origine systémique? Pourquoi les solutions conventionnelles (baisser les taux d'intérêts, renflouer les banques, relance Keynesienne) ne suffiront-elles pas ?
De plus, nous savons qu'elle coïncide avec d'autres défis planétaires sans précédents comme le changement de climat, les effets économiques du vieillissement des populations, et la mutation technologique qui découple la croissance avec l'emploi.
Quelles innovations monétaires sont disponibles dès aujourd'hui pour structurellement résoudre ces défis, et changer cette crise en une opportunité ?
Que peuvent faire les états, les entreprises, et les citoyens eux-mêmes, pour éviter d'être entraînés dans la débâcle bancaire ? Voici les questions qui ont été traitées pendant cette soirée.


Extraits :

"Je compare tout cela à l'aéronautique des frères Wright : on avait montré au début du XXe siècle que voler devenait 
possible. On sait désormais qu'il est possible d'avoir des monnaies complémentaires. Il faut 
maintenant les organiser correctement et à une échelle où elles peuvent faire une différence.  

 

De ce point de vue, je peux vous citer de très nombreuses expériences extrêmement 
intéressantes et prometteuses. Le Time dollar, par exemple, s'appuie sur des échanges de 
services basés sur une comptabilité de débits et de crédits exprimés en heures entre individus. 
L'heure totalisant 60 minutes dans la plupart des pays du monde, les risques d'inflation sont 
nuls… Il existe aujourd'hui environ 400 réseaux Time dollars dans le monde.  

 

Des monnaies pour lutter contre l'isolement 
 
Au Japon, une expérience de monnaie complémentaire permet de réduire le problème 
financier posé par le vieillissement de la population, l'un des défis majeurs de l'humanité 
pour la prochaine décennie. Près de 20 % de la population japonaise a plus de 65 ans et 1,8 
million de personnes ont besoin d'une aide journalière. Il s'agit d'un problème impossible à 
gérer durablement dans le cadre d'un monopole monétaire conventionnel… Dans le système 
japonais Fureai Kippu, mis en place par Tsutomo Hotta, la monnaie complémentaire permet 
de financer toute aide qui n'est pas couverte par l'assurance maladie : l'aide à domicile, 
l'accompagnement, le soutien moral, les achats, la préparation de nourriture, etc. Lorsque je 
rends un service à une personne âgée dans mon quartier, je suis crédité du temps dépensé sur 
un compte épargne électronique. Je peux l'utiliser pour rémunérer quelqu'un qui viendra 
m'aider le jour où je serai malade, ou bien le transférer à ma mère, pour qu'elle rémunère un 
membre du réseau installé dans sa région en échange de son aide. Il y a 487 systèmes de ce 
type au Japon, qui viennent en aide à des centaines de milliers de personnes. On peut 
également citer le réseau de Yamato Love (LOcal Value Exchange) initié par la mairie de la 
ville de Yamato qui compte 700 000 habitants. Un tiers des habitants utilisent ce système de 
monnaie complémentaire, chacun créant son propre sous-système à partir d'une carte à puce 
qui permet de comptabiliser et d'effectuer les échanges. On peut parler aussi d'Ithaca Hours1, 
une monnaie locale créée en 1997 à Ithaca, dans l'État de New York, ou encore du réseau 
allemand Regio (RegioNetzwerk) dont 28 systèmes locaux sont déjà opérationnels, et 35 
autres en formation. Le plus connu est le Chiemgauer2 qui fonctionne dans le Sud de la 
Bavière. En France, enfin, le système SOL s'appuie sur une carte à puce du type de celle qui 
existe à Yamato. Ce système porte trois types de monnaies : une monnaie interentreprises (le 
SOL Coopération) dont l'unité est équivalente à l'euro ; une monnaie sociale (le SOL 
Engagement) dont l'unité est le temps, comme pour le Time dollar ; et enfin une monnaie 
sociale affectée en euros sur le modèle des "chèques-repas". 

 

Passer à la vitesse supérieure 

 

Des projets plus ambitieux sont en train de voir le jour. Sept villes européennes, dont Dublin, 
Bristol, Bremen et Bruxelles, devraient lancer l'hiver prochain un projet Interreg dont le but 
est la création d'une monnaie favorisant la réduction carbone. Le principe est très simple : 
lorsque vous achetez une ampoule basse consommation par exemple, vous recevez un certain 
nombre de points. Ces points sont utilisables pour acquérir d'autres biens "verts" qui 
participent à la réduction des gaz à effet de serre. Vous pouvez par exemple les utiliser pour 
payer votre facture d'électricité "verte". Cette monnaie affectée donne une direction à 
l'économie elle-même à travers le consommateur. C'est beaucoup plus efficace que les 
systèmes de subsides conventionnels. En Californie par exemple, vous recevez 2 000 dollars 
si vous achetez une voiture hybride, mais rien ne vous empêche d'utiliser cette somme pour 
acheter un billet d'avion pour Hawaï, qui réduira à néant l'effort écologique consenti lors de 
l'achat de votre véhicule. 

 

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Prospective 21OO
 
 

Fwd: CONFERENCE 21OO N°103 - 18 NOVEMBRE 2009


Conférence 21OO N° 103

 

Grandes tendances des Technologies de l'information et de leur impact sur la stratégie des acteurs économiques

Le rapport ATAWAD 2009

 

par
 
Xavier DALLOZ
Consultant
Xavier DALLOZ Consulting
 
 
 
Avec l'ATAWAD (acronyme : AnyTime, AnyWhere, AnyDevice), un tsunami se prépare avec de nouvelles technologies, de nouveaux métiers et de nouveaux enjeux.
 
Nous n'avons encore rien vu... tout va s'accélérer. Une vie quotidienne dans un mode globalement numérique massivement connecté et interconnectable est en train d'émerger rapidement avec de nouvelles infrastructures, nouveaux acteurs, nouveaux utilisateurs, nouveaux modèles économiques...
 
La sortie de la crise actuelle passe par la compréhension de cette nouvelle vague de technologies de l'information qui va tout changer.
 
 
Mercredi 18 novembre 2009 à 17h45
 
à l'ISEP - 28, rue Notre Dame des Champs - Paris 6ème
Métro : Notre Dame des Champs
Parking FNAC: 153 bis Rue de Rennes
 
 
Je vous prie de bien vouloir confirmer votre participation par retour de mail.

 

Fwd: CONFERENCE 21OO N°97 - 28 OCTOBRE 2009


Conférence 21OO N° 97

 

L'avenir de la propulsion spatiale

 

par
 
Alain Dupas
Président du Club « Espace », Prospective 21OO
 
 
Le transport spatial repose toujours, en 2009 comme lors du lancement du premier satellite artificiel, Spoutnik, en 1957, sur l'utilisation de moteurs- fusées à propergols chimiques, liquides ou solides. Le fait que le lanceur de Spoutnik soit toujours en service aujourd'hui, 52 ans après son premier vol - depuis la Russie mais aussi bientôt depuis Kourou en Guyane Française - illustre cette « stagnation » technologique de la propulsion spatiale.
Certes, des progrès ont été accomplis, mais ils ont été marginaux, et n'ont eu qu'un faible impact sur les performances, la fiabilité et le coût du transport spatial.
 
Cette situation est-elle appelée à perdurer ? Ou bien au contraire des « ruptures » technologiques sont-elles appelées à transformer profondément le transport spatial dans les prochaines décennies ? Ce sont ces questions qui sont abordées dans cette conférence, avec en particulier les déclinaisons suivantes :
 
- des avancées significatives sont-elles encore possibles dans le domaine des lanceurs conventionnels utilisant la propulsion chimique, avec par exemple le développement de nouveaux lanceurs dans le cadre d'initiatives privées ?
- le développement de lanceurs réutilisables, utilisant la propulsion par moteurs-fusées ou des méthodes de propulsion « aérobie », est-il enfin envisageable sérieusement, ou bien reste-t-il un rêve inaccessible ?
- le transport « interorbital », c'est à dire le transfert de charges utiles entre des orbites proches de la Terre et des orbites plus lointaines (orbite géostationnaire, trajectoires autour de « points de Lagrange » des systèmes Soleil-Terre et Terre-Lune, orbites lunaires, trajectoires interplanétaires) pourrait-il enfin passer au stade d'un « développement durable », avec des « remorqueurs » réutilisables, des « stations services » spatiales, l'utilisation de propulseurs « électriques » et/ou de propergols provenant de ressources extraterrestres ?
- des systèmes de propulsion révolutionnaire sont-il envisageable, au moins pour les missions lointaines dans le système solaire…ou au-delà ( !) …d'ici 2100 ?
 
La propulsion est la clé du développement des activités spatiales futures. La stagnation que nous avons soulignée explique certainement le fait que les grands projets envisagés après Apollo (bases lunaires, vols d'astronautes vers Mars, centrales solaires spatiales, industrialisation de l'espace Terre- Lune, colonies spatiales, etc.) aient été, de facto, repoussées, au mieux, à des décennies encore éloignées du 21ème siècle. Elle n'est pas cependant une malédiction. La physique et l'ingénierie offrent des solutions, comme cette conférence va essayer de le démontrer.
 
 
Mercredi 28 octobre 2009 à 17h45
 
à l'ISEP - 28, rue Notre Dame des Champs - Paris 6ème
Métro : Notre Dame des Champs
Parking FNAC: 153 bis Rue de Rennes
 
 
Je vous prie de bien vouloir confirmer votre participation par retour de mail.

 

Croissance du PIB et émissions de CO2 sont étroitement liés

ENERGIE

Croissance du PIB et émissions de CO2 sont étroitement liés

[Tribune] Chris Goodall

20 juil. 2009

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Croissance du PIB et émissions de CO2 sont étroitement liés

Une étude récente s'est penchée sur les liens entre la prospérité économique et l'empreinte carbone. Elle compare les émissions moyennes par habitant dans 73 pays à différentes étapes de leur développement [1]. Au final, c'est la corrélation forte entre la hausse du PIB et celle des émissions de CO2 qui s'inscrit comme l'élément d'information principal de cette étude.

Cela signifie que la croissance économique aurait un lien de cause à effet avec les émissions de gaz à effet de serre [2]. Sans changements significatifs, la croissance des émissions de CO2 sera proportionnelle à la croissance continue de l'économie mondiale.

Pendant longtemps, les politiques ont considéré que la croissance économique n'était que partiellement liée aux émissions de CO2. On pensait, avec optimisme, qu'avec la croissance, la consommation d'énergie augmenterait beaucoup moins que le PIB. Les activités de service qui ne consomment pas beaucoup d'énergie devaient profiter le plus de la croissance, tandis que les activités très consommatrices d'énergie comme la fabrication et la construction devaient diminuer. Ce consensus est probablement encore en vogue dans beaucoup de milieux politiques.


Fond de polémique sur la taxe carbone

Le Campus d'été de l'UMP s'ouvre sur fond de polémique sur la taxe carbone

SEIGNOSSE — Le Campus d'été de l'UMP a démarré vendredi soir à Seignosse, où responsables de la majorité et membres du gouvernement vont débattre des grands sujets qui agitent leurs rangs, dont la taxe carbone qui fait des vagues jusqu'au sommet de l'exécutif.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5havwxw_XK5tc6ZSKTE0WV8ZFcmXw