lundi 13 décembre 2010

Fwd: Tribune Cancun



Début du message réexpédié :

De : Béatrice Jaud <contact@jplusb.fr>
Date : 13 décembre 2010 18:30:44 HNEC
À : destinataires inconnus:;
Objet : Tribune Cancun


Aujourd'hui, le processus Onusien est sauvegardé à Cancun mais nous savons que le péril climatique progresse inexorablement chaque jour, dans le monde.

A Durban, en 2011, il sera impératif de désamorcer la bombe climatique que nous offrons aux générations futures.

Oui des avancées ont été obtenues à Cancun qu'il faut rendre concrètes vers les pays en développement (fond vert, transfert de technologies vertes, lutte contre la déforestation, aide à l'adaptation contre le changement climatique) mais, c'est dans nos pays industrialisés que nous devons réduire massivement nos émissions de gaz a effet de serre, armes de destruction massive de l'humanité !
Qu'au moment de la COP 16 de Cancun sorte en France une étude fallacieuse sur les effets du Grenelle, quant a son coût, en dit long sur l'addiction de nos sociétés à un mode de production et de consommation qui est si cruelle envers le climat, la biodiversite et la majorité de la population mondiale.
Mais en ce 12 décembre, ne boudons pas notre plaisir de voir que les 194 pays réunis à Cancun nous ont laissé entrevoir que le chemin existe. Ce chemin est long mais il est urgent de s'y engager.

C'est presque un cadeau de Noël pour nos enfants, mais le Père Noël n'existe pas (chut ne leur dites surtout pas à nos chers bambins)...
... ou plutôt il doit exister réellement en chacun de nous, dans nos gestes et nos engagements au quotidien !

Aux actes Citoyens !

Préparons Durban. Créons dans nos territoires, innovons, rassemblons les forces pour faire et pour ne pas décevoir l'avenir !

Serge Orru dans le jour qui se lève a Cancun.


--

Serge Orru
Directeur Général du WWF France

www.planete-attitude.fr,  premier réseau social nature-environnement
http://www.wwf.fr/pdf/PlanAccesWWFFrance.pdf
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Le Journal Intégral: Penser la nouvelle civilisation (1)


http://journal-integral.blogspot.com/2010/12/penser-la-nouvelle-civilisation-1.html :

Dans notre dernier billet, nous avons présenté le Club de Budapest à l'origine de la déclaration sur l'Etat d'Urgence Mondiale. Cette association s'est donnée comme mission l'émergence d'une conscience planétaire fondée notamment sur l'interconnexion des cultures etl'intégration de la spiritualité, des sciences et des arts. La spécificité du Club de Budapest - et son originalité - c'est la démarche systémique qui la fonde et qui révèle la connexion entre l'évolution de la conscience, des modèles et des stratégies à mettre en oeuvre pour le vingt et unième siècle.

Peintre, photographe, cinéaste, écrivain, enseignant et consultant, Michel Saloff Coste a un parcours multimédia et pluridisciplinaire. C'est en 1995 qu'il prend l'initiative de la fondation du Club de Budapest en France. En 2007, sous l'égide du Club de Budapest France, il crée l'Université Intégrale.

Michel Saloff Coste est l'auteur de « Le Management du troisième millénaire » paru en 1991 et réédité plusieurs fois. Ce livre est devenu un des livres de prospective, stratégie et management de référence en France. La réflexion de Michel Saloff Coste le conduit à proposer une théorie générale des systèmes de représentation fondée sur une analyse de l'évolution humaine en quatre grands types de civilisation : la Chasse Cueillette, l'Agriculture Elevage, l'Industrie Commerce et la Création Communication.
La mutation contemporaine n'est pas, selon lui, assimilable à un nouvel avatar de la révolution industrielle mais doit être comprise comme un véritable changement de civilisation : le passage de "l'ère de l'industrie et du commerce" à "l'ère de la création et de la communication". Le blog de Michel Saloff Coste rassemble l'ensemble de son activité passée, présente... et futur.

Sur le site de l'Université Intégrale, on peut lire un entretien avec Michel Saloff Coste intitulé : "Au-delà de la crise, penser la nouvelle civilisation". L'auteur est interrogé sur les réponses apportées par nos gouvernants à la crise économique. Michel Saloff Coste s'inquiète des mesures de court terme adoptées pour tenter de résoudre l'une des plus graves crises économiques de notre temps. Il s'alarme aussi du décalage croissant entre l'évolution générale de la société et les modes de gouvernance et de management des entreprises. Pour lui, la crise est un symptôme d'un phénomène bien plus profond, l'émergence d'une « nouvelle civilisation » dont il décrit les caractéristiques. Éléments de vision à la fois critiques et prospectifs pour « un management du troisième millénaire ».


Entretien avec Michel Saloff Coste : "Au-delà de la crise, penser la « nouvelle civilisation »". Première partie.

Quelles réflexions, quelle analyse personnelle vous inspire la crise et cette période tout à fait singulière que nous vivons aujourd'hui ?

- Dans de telles situations de crise, il est impératif de garder son sang-froid. Toute réaction « à chaud » risquerait en effet de générer des effets pervers et contreproductifs. Notamment, en se trompant de diagnostic, les décisions prises pour tenter de porter remède à la crise pourraient au contraire la précipiter et l'aggraver. Cette question du diagnostic me paraît actuellement d'autant plus importante que la crise que nous traversons est profonde.
Pour ma part, la gravité de la crise ne me surprend pas, puisque dans ma réflexion présentée dans « Le Management du troisième millénaire», initiée dans les années 80 et qui a donné lieu à une publication en 1990, j'expliquais que nos économies avancées fonctionnent de telle façon qu'elles allaient connaître une crise majeure. Pour moi, le diagnostic est clair : nous traversons une vraie « crise de civilisation ». Nous sommes de plus en plus nombreux à partager ce point de vue, aux côtés d'Edgar Morin et de Thierry Gaudin notamment.

En quoi pousser plus loin l'analyse devient aujourd'hui urgent, et l'absence de réflexion sur ce thème vous inquiète-t-elle ?

- Si la crise des subprimes et du système financier n'était qu'une spéculation de plus, sur un fond de croissance mondiale infinie, alors nous repartirions comme par le passé. Mais ce qui fait la gravité de cette crise, c'est que, précisément, elle s'inscrit dans un contexte tout à fait particulier. L'idée d'une croissance mondiale de l'ordre de 5 à 10% qui nous permettrait de payer à la fois les dettes de nos États, les systèmes de protection sociale - y compris en Inde et en Chine - dans un système qui continue à rémunérer toutes les parties prenantes, devient impossible, parce qu'insoutenable pour la planète et ses habitants. Les subprimes aux Etats-Unis, à ce titre, peuvent déjà apparaître comme une tentative de distribuer du pouvoir d'achat pour que le système se survive à lui-même et que des intermédiaires se rémunèrent « comme avant ».

C'est pourquoi apporter des solutions à cette crise uniquement en tirant les leçons des années 30 me paraît très insuffisant. Bien sûr qu'il s'agit pour les États d'actionner tous les leviers d'une relance keynesienne – réamorcer la pompe du crédit, investir massivement dans des plans de relance par les grands travaux et des plans de relance de la demande. Ces trois leviers sont absolument nécessaires pour ne pas bloquer le système à très court terme.
Mais la vraie question qui n'est pas traitée aujourd'hui, à la fois par les politiques, les banques, les entreprises, c'est à quoi ressemblerait une économie qui continue à croître et à se développer, dans un monde fini et aux ressources limitées. Parce que la croissance, c'est la vie ! Et à quoi ressemblerait une civilisation fondée sur d'autres principes que celle qui vient de s'achever ?

Effectivement, je suis profondément inquiet, car si l'on fait l'impasse sur le diagnostic, le risque est grand que le patient ne se réveille après la crise encore plus malade. Aujourd'hui, ce sont les États qui prennent le relais des banques. Avec le risque, demain, que les États entrent en faillite… L'urgence est donc qu'une vraie réflexion démarre. Or vous ne voyez poindre cette réflexion ni à droite, ni à gauche.

Que préconisez-vous dans cette situation d'urgence ?

- Nous entrons dans un moment très dangereux, où personne, parmi les hommes politiques, les dirigeants de multinationales, ne pourra dire, face à la multiplicité des rapports ou des alertes, qu'ils ne savaient pas ! Ne pas prendre les virages devient un acte d'irresponsabilité majeure. Alors oui, adoptons les mesures de très court terme qui permettront, nous l'espérons tous, de relancer temporairement la machine. Mais après ? Sur les milliards injectés pour la relance, ne peut-on pas conserver quelques moyens pour réfléchir à ce qui sera possible et souhaitable demain ?

Un dirigeant dans le monde, Nicolas Sarkozy, a eu très tôt l'intuition de dire qu'il s'agissait de « refonder le capitalisme », et de mener « une autrepolitique de civilisation ». Les mots sont forts, et le diagnostic est juste. Mais où est le comité de recherche pour travailler sur ce futur modèle de civilisation et les modèles économiques qui lui sont associés ? Les 1000 milliards injectés dans l'économie pour sauver le système bancaire, vont-ils accélérer et précipiter la mort du système précédent, comme l'injection d'amphétamines à un mourant ?

Certains États sont au bord de la faillite, et beaucoup d'entre eux, demain, n'auront plus les marges de manœuvre nécessaires pour agir du fait de leur endettement. Devant les masses financières mises sur le marché, des économistes redoutent de surcroît des phénomènes d'hyper-inflation à moyen terme. Tout le monde met sa dernière cartouche pour sauver le système ! Face à la gravité de la situation, il ne s'agit plus de se réclamer de la droite ou de la gauche. Chacun doit apporter sa contribution pour repenser les liens entre matières premières, capital, travail, production. C'est cette chaîne-là qui est à réinventer.

Précisément, dès « Le Management du troisième millénaire », vous pressentiez l'émergence d'une nouvelle ère et vous en dessiniez les contours. Quels signes avant-coureurs vous permettaient d'établir ce constat ?

- Faisons un bref retour en arrière : les fondements de la société du commerce et de l'industrie sont apparus entre le XVIIème et le XVIIIème siècles. Ils ont été érigés sur les vestiges de l'ère précédente, celle de l'agriculture-élevage, dont la finalité était le maintien de structures hiérarchiques à l'identique (monarchie absolutiste, aristocratie, corporations…). Les modes de management dominants de l'agriculture-élevage étaient l'ordre, le contrôle. Or au XVIIIème siècle, on a vu poindre des concepts très novateurs – l'Égalité, la citoyenneté, les principes de séparation de pouvoir, et puis la démocratie, réinventée sur les bases de la démocratie grecque.

Dès lors, les élites aux capacités guerrières, dédiées à la conquête du territoire dans l'ère de l'agriculture-élevage, ont laissé la place à des élites reconnues selon leur mérite et leur capacité à générer de l'argent. La compétition, la négociation, mais aussi l'avancement, la progression en professionnalisme et en rémunération, ont pris toute leur place dans cette société-là ; la guerre de territoires a laissé la place à la guerre économique. En parallèle, un nouvel état du monde s'est construit autour du concept de Nation et du développement des démocraties.

Dès les années 70-80, j'ai pris conscience –avec d'autres sociologues et philosophes comme Edgar Morin, ou Thierry Gaudin, président deProspective 2100 - que nous étions arrivé à la fin de cette ère ; j'ai commencé à réfléchir sur les contours de la nouvelle période qui allait se présenter à nous. Quels sont les éléments de fond qui la caractérisent ? Au XVIIIème siècle, bien sûr, il était difficile d'imaginer que l'homme puisse, un jour, atteindre les limites de la planète.
L'état de développement des sciences, le degré d'utilisation des ressources naturelles, étaient loin de le laisser supposer à l'époque. Or la deuxième partie du XXème siècle a signé l'heure de cette prise de conscience. En 1972 exactement, le Club de Rome, rassemblant des scientifiques, des économistes, des chercheurs de 53 pays, a émis un rapport baptisé « Halte à la croissance » qui a fait date et suscité le débat.

Pour la première fois, grâce à l'utilisation de la puissance des premiers supercalculateurs, des experts issus de nombreuses disciplines ont pu extrapoler les tendances en cours, et montrer qu'une croissance infinie, sur une planète à la géographie et aux ressources finies, n'était plus possible, et qu'elle aurait pour effet de faire imploser notre monde à l'horizon 2100.
Les tenants de ces thèses ont été taxés de catastrophisme. Mais depuis, force est de constater que les nombreuses mesures et observations collectées – accumulation des gaz à effets de serre, réchauffement climatique, disparition de nombreuses espèces… - leur ont plutôt donné raison, et même plus rapidement que prévu. Tout montrait déjà, dans ce rapport, que l'on ne pouvait plus raisonner et fonctionner « business as usual ».

Ce constat a aussi donné naissance au courant de la décroissance. Comment vous en distinguez-vous ?

- Nous pouvons être d'accord sur les constats, sans l'être tout à fait sur les conclusions à en tirer. Des observateurs se sont par exemple saisis de ces évolutions pour condamner la notion même de progrès. Ce n'est pas mon propos. Le progrès, c'est un fait, a apporté beaucoup à l'humanité, dans le domaine de la santé, de l'hygiène, de l'élévation des niveaux de vie et du mieux-être des populations. On ne pourra revenir complètement en arrière sur tout ceci. D'autres courants ont aussi condamné le capitalisme, accusé de tous les maux. Certes, le système capitaliste comporte des faiblesses et il a déjà traversé de nombreuses crises.

Mais là encore, la question n'est pas tant pour moi de condamner le modèle, que de discerner ce qui peut prendre la suite dans un monde que nous savons limité, et de comprendre ce que peuvent être, dans un tel contexte, les valeurs, la culture, les principes de fonctionnement, d'une nouvelle civilisation. Cette civilisation, je l'ai décris dans le management du troisième millénaire comme celle de la société de l'information et de la création, qui vient poursuivre la société du commerce et de l'industrie.
(A suivre...)

Academie Clementine: Accueil


http://www.academie-clementine.org/


Approfondir sans cesse nos connaissances dans tous les domaines de notre culture, mieux se connaître soi-même, découvrir la diversité du monde, c'est élargir nos esprits et, espérons, aller vers plus de sagesse afin de développer notre capacité à vivre harmonieusement ensemble.
Au 2ème siècle, Clément d'Alexandrie chercha à concilier l'ensemble des cultures méditerranéennes et rapprocher les valeurs du christianisme naissant de la philosophie grecque. « Clémentine »  fait référence à cette démarche de compréhension et d'acceptation de l'autre.
Vous trouverez sur ce site nos programmes à venir (Rubrique Actualités) ainsi qu'un rappel de nos activités depuis la création de l'Académie Clémentine en 2001 (Rubrique L'association). Vous pourrez également écouter plusieurs de nos émissions (Rubrique L'association Sous rubrique La radio), ou vous procurer textes et DVD de certaines conférences (Rubrique La boutique).
Vous pouvez également adhérer à l'Académie Clémentine pour soutenir ses activités, recevoir régulièrement ses programmes, être prévenu en priorité de manifestations à caractère limité et aussi bénéficier de tarifs préférentiels.

4D Prochain Mardi de : 14 décembre, de retour de Cancun!

Mardi de 4D, 14 décembre 2010

De retour de Cancun,

Décryptage des négociations climat,

Enjeux des mobilisations citoyennes,
Quelles perspectives pour l’avenir ?

Avec

Sébastien Blavier, Réseau Action Climat- France (RAC-F)

Anne Chetaille, Chargée de projets au Gret, et responsable de la commission climat développement de Coordination Sud
Maxime Combes, Aitec-Ipam, participant à Urgence Climatique Justice Sociale
Pierre Radanne, Président de 4D

Paul Watkinson, Chef de la délégation française dans les négociations climatiques internationales



Animation : Marie Chéron, Association 4D

Résumé

La 16ème Conférence des Parties (CdP 16) se déroule à Cancun (Mexique) du 29 novembre au 10 décembre 2010. Une étape de plus dans la construction de la gouvernance internationale sur le climat.

Il y un an, à Copenhague, les négociations climat, au cœur de l’actualité, mobilisaient tant l’opinion mondiale que les dirigeants politiques. Elles avaient alors révélé au plus grand nombre, non sans déception, les blocages du dialogue multilatéral. En effet, au-delà des questions climatiques, c’est la question du développement qui était en jeu : l’économie mondiale, les accords commerciaux, la coopération Nord-Sud… Mais également l’urgence climatique, l’exigence d’équité et de justice sociale. L’appel à la solidarité internationale obligatoire, et à une nouvelle forme de régulation mondiale se heurtait à la logique de concurrence qui domine les relations internationales.

En 2010, les discussions se sont poursuivies, avec une ambition peut être trop souvent à la baisse mais sur des bases sans doute plus pragmatiques. On attend à Cancun un lot de décisions sur des éléments clés d’un futur (et tant attendu) traité international : les transferts de technologie et de financements, le cadre d’action pour l’adaptation au changement climatique, le mécanisme de réduction des émission liées à la déforestation et à la dégradation des sols… Au cœur des enjeux également cette année : les discussions concernant la reconduction du protocole de Kyoto.

Quels auront été les points forts de la négociation ? Quels auront été les points durs ? Peut-on espérer un traité, ambitieux, juste et équitable, pour 2011, 2012 ? Les jeux de décisions équilibrés permettent ils en effet de garantir le niveau d’ambition nécessaire aux réponses à apporter ? Que peut-on espérer du prochain Sommet de la terre concernant les négociations climat ?

De retour de Cancun, ce sera également l’occasion de faire un point sur les mobilisations citoyennes. Les mouvements sociaux se retrouvent début décembre au Mexique, où une grande manifestation est prévue. Les mouvements latino, très impliqués, et force de propositions, seront largement présents. Quels sont leurs messages et revendications ?

Venez débattre de l’avenir des négociations climat, le 14 décembre prochain !

Date et lieu

Mardi 14 décembre 2010, à 17h30 à la Salle des Mariages de la Mairie du 10ème arrondissement

72, rue du Fbg. Saint-Martin, 75 010 Paris. M° Gare de l’Est

Inscription

Entrée libre et gratuite Merci de confirmer par mail: adebouci[a]association4d.org

Le Journal Intégral: janvier 2010 : Le Chaman et le Savant


http://journal-integral.blogspot.com/2010_01_01_archive.html



Bien cordialement,

Michel SALOFF-COSTE

"La ville durable : repenser l’espace urbain pour mieux vivre ensemble"

"La ville durable : repenser  l'espace urbain pour mieux vivre ensemble"
27 ème "Alter mardi : Parlons Solutions"
 
50 % des habitants de la planète et 70 % de ceux des pays développés vivent désormais en ville. Le développement urbain de ces dernières décennies s'est accompagné de multiplesdésagréments sociaux et environnementaux. La ville est plus que jamais un chantier privilégié sur lequel essaimer les principes du développement durable.
Rendez-vous :
Mardi 14 décembre 2010
de 19h00 à 20h30
au Comptoir Général
80, quai de Jemmapes
75010 Paris
M° République/Jacques Bonsergent
Face aux problèmes de périurbanisation et d'empreinte écologique croissante, le modèle urbain classique semble avoir atteint ses limites. Deux tendances se présentent : le modifier radicalement pour produire des villes nouvelles écologiques, ou l'adapter par des mesures plus simples.
L'expression « Ville durable » désigne une ville ou une unité urbaine respectant les principes du développement durable et de l'urbanisme écologique. Elle cherche à prendre en compte conjointement les enjeux sociaux, économiques, environnementaux et culturels de l'urbanisme, par exemple au travers d'une architecture HQE, en facilitant les modes de travail et de transport sobres, en développant l'efficience du point de vue de la consommation d'énergies et des ressources naturelles. Cette logique se matérialise dans des éco-villes ou éco-quartiers cherchant à diminuer leur empreinte écologique en compensant leurs impacts et en tendant à rembourser leur « dette écologique ». Ce soir, les "Alter mardis: parlons solutions" vous emmènent à la déco uverte de ces espaces urbains préservés, et s'interroge sur la meilleure manière d'essaimer le modèle.
Alors, comment les spécialistes imaginent-ils la cité ultime ? Quels sont les initiatives remarquables déjà mises en place ? Les éco-quartiers et écovilles sont ils réservés à une élite, ou peuvent ils être accessibles aux revenus modestes ? Quid des logements sociaux ? De la mixité culturelle et sociale ? Quoi penser des labels existants type HQE ou BBC ? Qu'est qu'une ville neutre, une ville à énergies positives ? Existe-t-il des indicateurs objectifs permettant de mesurer le caractère durable d'une ville ? Comment les formations en architecture et en urbanisme intègrent les principes du développement durable ? La ville durable nous demandera-t-elle de limiter nos déplacements dans une logique de cir cuits courts ? Nos intervenants l'ont promis, ils répondront à toutes vos questions, alors, en bon citadin citoyen, venez participer à ce 27ème « Alter mardi : parlons solutions » !
 




Fwd: Réjouissance



De : carlisky claudia <carlisky@gmail.com>
Date : 9 décembre 2010 17:02:40 HNEC

Objet : Réjouissance

Chers amis,

Auj
ourd'hui,  mon blog de poésie et de peinture commencé le 25 juillet 2010 :

http://claudiacarlisky.blogspot.com/

a reçu sa 1000 ème visite.

Aussi, je veux partager ma joie avec vous.

Je vous embrasse

Claudia