Objet : UTOPIEBonjour,
je suis heureux de vous annoncer une première dans l'évolution de Prospective 2100 :
La table ronde organisée par le club Utopie qu'anime Philippe Bernard, "l'avenir des sociétés"
qui s'est tenue le 5 Avril dans les locaux du CAS
(ex commissariat au Plan) avec la participation de Stéphane Hessel, Susan George et André Orléan
est dès maintenant en vidéo à l'adresse suivante :
http://www.2100.org/videos/896/avenir-societes/
Bon cinéma !
Et n'oubliez pas de voter en cliquant sur 5 étoiles ;-)
Je remercie particulièrement Dominique Lacroix d'avoir effectué cette mise en ligne et ses aménagements
En ce qui concerne le PowerPoint que j'ai utilisé (qui n'est pas visible sur la vidéo), vous le trouverez en téléchargement à
http://www.slideshare.net/thierrygaudin/utopie04-11
Bien amicalement
Thierry GaudinProspective 21OO
http://2100.org ; http://gaudin.org
P/o Nathalie DESCHAMPS – DJERMOUNE
jeudi 21 avril 2011
Fwd: UTOPIE "l'avenir des sociétés"
Fwd: Club de BUDAPEST - Infos - tempsreel.nouvelobs.com - Electricité, essence, gaz : pourquoi tout va augmenter
Objet : Club de BUDAPEST - Infos - tempsreel.nouvelobs.com - Electricité, essence, gaz : pourquoi tout va augmenterRépondre à : andre.copin2@cegetel.net
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20110420.OBS1649/l-energie-bon-marche-c-est-fini.html
Electricité, essence, gaz : pourquoi tout va augmenter
Le gouvernement peut bien prendre des mesures temporaires pour soulager votre porte-monnaie. Mais tôt ou tard, vous ne couperez pas à une augmentation importante de vos factures.
Réunion de crise, le 4 avril, à l'Elysée. Autour de la table, le Premier ministre François Fillon, la ministre de l'Economie Christine Lagarde, le ministre de l'Industrie Eric Besson, et François Baroin, celui du Budget. A l'ordre du jour, la flambée des prix de l'énergie.
Celui du baril de pétrole s'envole. Le patron de Total, Christophe de Margerie, menace les Français d'une essence à 2 euros le litre, selon lui "inéluctable". La facture de gaz a pris 20% en moins d'un an.Et Henri Proglio, le patron d'EDF, pousse à la roue pour obtenir des hausses de tarifs. Bref, à l'exception de l'uranium, en chute libre depuis la catastrophe de Fukushima, les prix de toutes les sources d'énergie grimpent en flèche. Une véritable catastrophe en cette période préélectorale, et alors que le pouvoir d'achat des Français est déjà sérieusement malmené.
Une série de mesures est concoctée dans l'urgence. Les prix du gaz sont gelés, les hausses du tarif de l'électricité limitées au strict minimum, des mesures fiscales soutiendront les automobilistes.
Soit. Cette petite trousse de secours permettra, peut-être, de contenir la poussée de fièvre jusqu'en 2012… Mais après ? Un rattrapage est inévitable. Et il risque de faire mal… Car c'est désormais une certitude: l'ère de l'énergie bon marché est révolue.
EDF au pied du mur
Le président d'EDF, Henri Proglio, table sur une hausse de 30% en cinq ans.
Tous les facteurs convergent pour la hausse : l'ouverture du marché à la concurrence, part croissante des énergies renouvelables dans la facture, besoins de financement d'EDF. Les réseaux de distribution sont vieillissants et l'heure est venue de prolonger la durée de vie des 58 réacteurs.
Certes, Henri Proglio, a obtenu 40 euros du MWh à compter du 1er juillet 2011, puis 42 euros à partir du 1er janvier 2012.
Mais le consommateur ne bénéficiera pas de l'ouverture du marché à la concurrence !
-> Lire l'article de Natacha Tatu
Le gaz dans tous ses états
Depuis juillet, le prix du gaz a flambé, en France, de 20%.
Un record ! Et un comble, à un moment où les prix du marché mondial étaient au plus bas. Explication : calé à 80% sur des contrats à long terme, eux-mêmes indexés sur le prix du pétrole, le prix du gaz n'a pas grand-chose à voir avec le marché mondial.
Prenant conscience du problème, le gouvernement vient de modifier cette formule en y intégrant une plus grande part de prix de marché. Las ! Le marché est en plein retournement, sous l'effet de la catastrophe de Fukushima. Le gaz est en effet devenu le premier substitut au nucléaire.
-> Lire l'article de Natacha Tatu
Pétrole : les marchés irrationnels
Depuis les troubles en Libye, le prix du baril de pétrole s'est envolé de 25%.
Une inquiétude irrationnelle : l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont compensé 1,7 million de barils par jour que ne livre plus Tripoli. Aucun risque de pénurie.
Seulement voilà : "Les marchés anticipent des tensions", explique Jean-Jacques Mosconi, directeur de la stratégie de Total. En 2010, la demande mondiale a explosé de 3 millions de barils par jour supplémentaires. En attendant, que faire ?
-> Lire l'article de Natacha Tatu
Chères renouvelables
D'après la Commission européenne, l'éolien terrestre coûte encore 40% plus cher –et le solaire photovoltaïque 400% – que l'électricité conventionnelle !
Bruxelles a fixé la part de ces renouvelables à 20% du panier énergétique total en 2020. Très bien. Mais, là encore, le consommateur va devoir financer ce développement. L'an passé, l'explosion du photovoltaïque a creusé un déficit de 968 millions dans les comptes d'EDF, portant le manque à gagner total de l'électricien, déjà bien plombé par le boom de l'éolien deux ans plus tôt, à… 2,8 milliards d'euros.
Seule lueur d'espoir : la hausse des prix de l'énergie sur le marché va peut-être favoriser le solaire.
-> Lire l'article de Natacha Tatu
Fwd: Fukushima: le rayon de 20 km autour de la centrale déclaré "zone interdite"- Infos - GNY / AFP - SFEN Vdl
Objet : Fukushima: le rayon de 20 km autour de la centrale déclaré "zone interdite"- Infos - GNY / AFP - SFEN VdlRépondre à : andre.copin2@cegetel.net
Fukushima: le rayon de 20 km autour de la centrale déclaré "zone interdite"
TOKYO (AFP) - 21.04.2011 04:29
Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais jeudi.
Contrôle de radioactivité le 12 avril 2011 d'un militaire de retour de Naraha, dans la zone de 20 km autour de Fukushima déclarée "zone interdite"
Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais jeudi.
AFP/Archives -
Des militaires de retour le 12 avril 2011 de Naraha, dans la zone de 20 km autour de Fukushima déclarée "zone interdite"
Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais jeudi.
AFP - Ho
Décontamination le 12 avril 2011 d'un véhicule militaire de retour de Naraha, dans la zone de 20 km autour de Fukushima déclarée "zone interdite"
Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais jeudi.
AFP/Archives -
Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais jeudi.
Le Premier ministre a fait cette annonce à l'occasion d'une visite dans la région de cette centrale endommagée le 11 mars par un séisme de magnitude 9 et un tsunami géant, qui ont entraîné la mort ou la disparition d'environ 28.000 personnes. Quelque 80.000 habitants ont été évacués de ce rayon de 20 km.
L'interdiction, qui devrait devenir effective dans la nuit de jeudi à vendredi, vise à permettre un contrôle strict de la zone. En inspectant plusieurs milliers de maisons, la police a découvert que plus de 60 familles y vivaient toujours en dépit des risques liés aux radiations.
"Nous avons demandé aux résidents de ne pas entrer dans cette zone dans la mesure où il y a un énorme risque pour leur sécurité", a souligné Yukio Edano, porte-parole du gouvernement, au cours d'une conférence de presse. "Aujourd'hui, nous avons décidé de la classer +zone en état d'urgence+ en vertu de la loi sur les catastrophes", a-t-il précisé.
Chaque famille réfugiée hors de ce périmètre aura cependant le droit, dans les semaines à venir, d'envoyer l'un de ses membres, durant deux heures seulement, pour récupérer des biens abandonnés dans son ancien domicile. Il devra être équipé de vêtements de protection et d'un dosimètre individuel pour mesurer la radioactivité.
"Il est totalement inacceptable que le gouvernement impose une zone d'interdiction. Même si nous pourrons y aller momentanément, nous ne pourrons rien faire en une heure ou deux. Le toit de ma maison a probablement été emporté, mais je ne pourrai pas le réparer", s'est plaint devant les caméras de la chaîne NHK un homme évacué de Narahamachi, près de la centrale.
Les familles dont le logement est situé dans un rayon de 3 km de la centrale ne bénéficieront pas de ce droit de retour ponctuel très restreint.
L'opérateur de la centrale, le groupe Tokyo Electric Power (Tepco), estime qu'il faudra encore environ trois mois pour commencer à réduire la radioactivité et entre six et neuf mois pour refroidir les réacteurs.
© 2011 AFP