mardi 29 novembre 2011

Fwd: philosophie politique : le temps de l'altruisme et manifeste de l'altruisme


Présentation de son livre
 
Un milliard et demi environ d'hommes, de femmes et d'enfants disposent à peine d'un toit ou encore souffrent de graves maladies qui pourraient être prévenues ou guéries. Beaucoup détournent le regard, mais beaucoup s'indignent. Le temps de l'action n'est-il pas enfin venu ?
N'est-ce pas d'abord et avant tout le devoir d'altruisme, contrepartie de notre idéal de liberté, qu'il nous faut redécouvrir en nous ?
Scientifique de renom, Philippe Kourilsky livre sa réflexion sur le mode de pensée et la démarche qui pourraient permettre, face aux enjeux planétaires, d'envisager une action concertée et efficiente.
« Le pire n'est pas toujours certain. Les idées ont leur force. Rassembler une majorité autour de valeurs morales essentielles et constructives, voilà une belle entreprise. Celle-là n'est pas hors de notre portée. » P. K.
Auteur du Temps de l'altruisme et des Artisans de l'hérédité, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences et conseiller de l'Institut Veolia Environnement, Philippe Kourilsky a été directeur général de l'Institut Pasteur.
2 x Interviews

Philippe Kourilsky est professeur au Collège de France et membre de l'Académie des sciences, biologiste et immunologiste, directeur général honoraire de l'Institut Pasteur, conseiller de l'Institut Veolia Environnement.


Il a publié, aux éditions Odile Jacob, deux ouvrages intitulés:

« Le temps de l'altruisme » en 2009 et « Le manifeste de l'altruisme » en 2011.

Le « Temps de l'altruisme »


Voici ce que dit Amartya Sen, Prix Nobel d'économie de cet ouvrage:


« Voici un livre d'un intérêt et d'une importance extraordinaires. Ce n'est pas la première fois que les graves problèmes moraux qui se posent dans le monde globalisé sont abordés et traités. Mais ce que nous propose ici Philippe Kourilsky, ce n'est ni plus ni moins qu'une approche inédite de ces questions centrales dans le monde d'aujourd'hui. Un livre magnifique. » Amartya Sen

Ce livre est l'œuvre d'un humaniste rationnel.
La première partie pose la question de la perception par l'homme des grands enjeux mondiaux liés à la pauvreté et à la dégradation de l'environnement.
Il propose une méthode d'introspection rationnelle permettant d'aborder ces objets complexes qui échappent souvent à l'intuition.
Le but de cette analyse est d'amener les individus à se forger un point de vue robuste qu'il conviendra ensuite de confronter à celui des autres permettant ainsi de dégager un consensus.

Il pose la question de la responsabilité individuelle et de l'éthique et introduit la notion de « devoir d'altruisme » proportionnel au degré de liberté dont nous disposons.

Ce processus d'introspection rationnel pourrait être étendu au niveau national et conduire à des prises de décision par acquisition de consensus, base d'une « démocratie par discussion » fondée sur l'équité.

Philippe Kourilsky appelle en conclusion à une " altruimondialisation " pour faire de notre planète une autre cité qui serait aussi la cité des autres....

 

Ecoutez l'interview de Philippe KOURILSKY sur "Le temps de l'altruisme"

Durée: 34 mn

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Le «Manifeste de l'altruisme »

 

Un milliard et demi environ d'hommes, de femmes et d'enfants disposent à peine d'un toit ou encore souffrent de graves maladies qui pourraient être prévenues ou guéries. Beaucoup détournent le regard, mais beaucoup s'indignent. Le temps de l'action n'est-il pas enfin venu ?
N'est-ce pas d'abord et avant tout le devoir d'altruisme, contrepartie de notre idéal de liberté, qu'il nous faut redécouvrir en nous ?
Scientifique de renom, Philippe Kourilsky livre sa réflexion sur le mode de pensée et la démarche qui pourraient permettre, face aux enjeux planétaires,
d'envisager une action concertée et efficiente.
« Le pire n'est pas toujours certain. Les idées ont leur force. Rassembler une majorité autour de valeurs morales essentielles et constructives, voilà une belle entreprise. Celle-là n'est pas hors de notre portée. » P. K.


Dans ce second ouvrage et en continuité du précédent, Philippe Kourilsky propose une nouvelle philosophie politique nommée " libéralisme altruiste " et appelle tout-un-chacun à apporter sa propre pierre à cet édifice intellectuel.

Ecoutez l'interview de Philippe KOURILSKY sur "Le manifeste de l'altruisme"

Durée: 43 mn

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On peut consulter la biographie détaillée de Philippe KOURILSKY sur wikipédia:

 
 

Fwd: Et nos enfants nous appelleront "barbares"


 

Et nos enfants nous appelleront "barbares"

Point de vue | LEMONDE.FR | 28.11.11 | 10h16

par Jean-François Mouhot, historien, chargé de recherches à l'Université de Georgetown
·          

Si les dangers du nucléaire sont largement débattus sur la place publique depuis Fukushima, ils occultent aujourd'hui l'énorme problème moral posé par le don fait à nos enfants d'un monde où la température pourrait augmenter de six degrés etrendre la vie humaine très difficile. Un problème qui présente des similarités troublantes avec celui posé par l'esclavage des siècles passés.

En 2005, enseignant à l'Université de Lille, j'avais été surpris des difficultés de mes étudiants à imaginer que des êtres humains, généralement intelligents et sensibles, aient pu un jour réduire d'autres hommes et femmes en esclavage. Pour eux, l'esclavage représentait l'incarnation même du Mal, à tel point que les propriétaires d'esclaves ne pouvaient qu'être des barbares, si différents d'eux qu'ils en perdaient leur humanité.

J'ai lu peu de temps après l'essai de J.M. Jancovici et A. Grandjean Le Plein s'il vous plaît. Cet ouvrage montrait comment, aujourd'hui, des machines de toutes sortes – presque toutes mues par des énergies fossiles – accomplissent le travail que réalisaient auparavant esclaves ou serviteurs. Ces 'esclaves énergétiques' font à présent notre lessive, cuisinent à notre place, nous transportent à l'autre bout du monde, nous divertissent, et font pour nous la majeure partie des travaux pénibles nécessaires à notre survie ou à notre confort.

En lisant ce livre, je fus frappé par les intrigantes similitudes entre l'esclavage et notre mode de vie contemporain si dépendant des énergies fossiles. Tout d'abord, esclaves et machines rempliss(ai)ent en gros les mêmes fonctions dans la société (effectuant le travail pénible, salissant ou dangereux dont personne ne veut). Par ailleurs, ceux qui bénéfici(ai)ent du travail des esclaves ou du "travail" des machines ne sont pas les mêmes que ceux qui en support(ai)ent les conséquences. De la même manière que les esclaves besognaient pour le confort de leurs maîtres, ceux qui brûlent massivement du pétrole et du charbon aujourd'hui ne sont pas les mêmes que ceux qui paient l'addition, c'est-à-dire à la fois les pauvres (principalement affectés par l'exploitation pétrolière, et par les sécheresses ou les inondations accentuées par le changement climatique) et les générations futures. Enfin, l'esclavage a été remis en cause assez rapidement àpartir du moment où le mal qu'il causait est devenu plus visible, tout comme notre consommation effrénée d'énergie commence à être timidement dénoncée en raison des problèmes divers – et extrêmement graves – causés par notre boulimie énergétique.

Nous nous représentons mentalement les propriétaires d'esclaves comme des brutes cruelles, sadiques, inhumaines. Mais ce faisant, nous oublions un peu trop facilement la banalité de la condition servile dans les siècles passés. A la fin du XVIIIe siècle, plus des trois quarts de l'humanité vivait dans une condition ou une autre d'asservissement, soit esclaves, soit serfs. L'esclavage semblait tout à la fois normal et indispensable, tout comme le "droit" de posséder une voiture, d'avoir le chauffage central ou de prendre l'avion à notre guise, nous paraissent aujourd'hui parfaitement acceptables. George Washington, Thomas Jefferson, et même Toussaint Louverture, lui-même un affranchi, ont possédé des esclaves. L'histoire de l'esclavage et de son abolition montre combien la frontière est floue entre ce qui est considéré bien ou mal à un moment donné, et la rapidité avec laquelle cette frontière peut évoluer.

Il y a bien évidemment des différences importantes entre l'utilisation d'esclaves et l'utilisation de machines fonctionnant au pétrole ou au charbon. L'esclavage est un crime contre l'humanité. Le problème avec les énergies fossiles résulte des dommages collatéraux dus aux émissions. Si brûler à grande échelle du pétrole ou du charbon ne contribuait pas fortement au réchauffement de la planète cela ne serait pas mauvais en soi. Si, pour garantir l'approvisionnement énergétique à bon marché certaines compagnies pétrolières et les Etats qui les soutiennent ne fomentaient pas des coups d'Etat et des guerres, prendre sa voiture pour alleracheter sa baguette de pain ne poserait pas de problème éthique. Il est désormais indéniable que notre addiction aux énergies fossiles contribue déjà à beaucoup de souffrances dans le monde (150 000 morts par an sont désormais attribuables au réchauffement climatique selon l'OMS).

La souffrance engendrée par notre dépendance aux énergies fossiles est bien sûr éloignée (géographiquement et chronologiquement), et involontaire. La nature du mal dans ce cas semble à première vue fondamentalement différente de celle de l'esclavage. Les conséquences imprévues de la combustion massive des énergies fossiles sont seulement pleinement comprises depuis peu de temps. Mais à présent que nous sommes conscients des effets néfastes de la combustion des carburants fossiles, et que nous continuons, globalement, à accroître nos émissions, pour combien de temps encore pouvons-nous prétendre que les conséquences sont "involontaires" ? Au XVIIIe siècle les consommateurs du sucre produit dans les Antilles, ou encore les planteurs qui résidaient en métropole et laissaient l'exploitation de leurs propriétés à des gérants profitaient également de l'esclavage sans être en contact direct avec ceux qui faisaient fructifier leurs terres. Il ne paraît pas aberrant de dire que ces personnes commettaient une transgression morale comparable à celle commise par ceux qui jouissent aujourd'hui des bienfaits des énergies fossiles, tout en sachant que d'autres pâtissent et pâtiront encore davantage demain de notre mode de vie.

En quoi cette comparaison est-elle pertinente ? Etablir une analogie simple entre notre mode de vie actuel et l'esclavage permet d'aborder la question climatique sous un angle d'approche différent, et encourage l'action (car personne n'imagine confortablement l'idée de ressembler à un esclavagiste). Par ailleurs, l'analogie permet d'expliquer le climato-scepticisme. Nos économies contemporaines sont devenues extrêmement dépendantes vis-à-vis des énergies fossiles, tout comme les sociétés esclavagistes étaient dépendantes de leurs esclaves – en fait, bien davantage même que ces dernières ne l'ont jamais été. Cette constatation a récemment amené un chercheur à écrire : "que les membres du Congrès américain [aujourd'hui] cherchent à justifier l'utilisation des énergies fossiles malgré les risques pour les générations futures, de la même manière que les représentants sudistes [avant la guerre de Sécession] s'efforçaient de justifierl'esclavage en dépit d'idéaux égalitaires n'est probablement guère surprenant".

Enfin, les problèmes rencontrés par les militants anti-esclavagistes pour parvenir àfaire interdire l'esclavage sont souvent similaires aux difficultés rencontrées de nos jours par ceux qui œuvrent pour la réduction des émissions de gaz à effets de serre. Les approches destinées à décarboner l'économie et la société peuvent donc s'inspirer directement des méthodes utilisées jadis par les abolitionnistes.

Si nous ne repensons pas rapidement notre manière de vivre, nos enfants paieront lourdement les conséquences de notre comportement irréfléchi. Qui plus est, les générations futures se demanderont dans quelques années comment notre civilisation a pu vivre dans un tel aveuglement moral. La prochaine génération verra-t-elle que les sociétés industrielles avaient des circonstances atténuantes ? Que nous étions devenus "accros" au pétrole, et étions nous-mêmes victimes de dépendance et des excès qu'elle engendre, à travers l'obésité, la pollution, la solitude, les dommages infligés au tissu social de nos communautés...? Si l'on en juge par la manière dont mes étudiants condamnaient sans appel les propriétaires d'esclaves des siècles passés, la réponse est probablement "Non". Il est bien plus plausible qu'ils nous maudissent pour les dégâts irréparables que nous aurons causés à la planète. Sans aucun doute, diront-ils, c'était là un peuple de barbares.


Dernier ouvrage : "Des Esclaves énergétiques : Réflexions sur le changement climatique" (Champ Vallon, 2011, 17€).


vendredi 25 novembre 2011

Sir Ken Robinson: A Brief History of Mass Education on Vimeo


http://vimeo.com/14158986?mid=53956





Le Figaro - Flash Eco : Dégradation du moral des ménages


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/11/25/97002-20111125FILWWW00431-degradation-du-moral-des-menages.php




Barbara Marx Hubbard- Tipping Point is a Planetary Birth | World Wide Tipping Point


http://worldwidetippingpoint.com/2011/11/barbara-marx-hubbard-tipping-point-is-a-planetary-birth/

Dominique Doré : expérience terrain SEL et autres monnaies : Your video is now online on Vimeo!


Objet : Your video is now online on Vimeo!

You can watch it here:
http://vimeo.com/32335923

Dominique Doré : expérience terrain SEL et autres monnaies

Dominique Doré : expérience terrain SEL et autres monnaies
http://vimeo.com/32335923

"UNIVERSITÉ INTÉGRALE
« Nouvelles Valeurs, Nouvelles Richesses,
Nouvelles Mesures, Nouvelles Monnaies »
____________________________________________________________________________________

Lundi 19 et mardi 20 septembre 2011
Forum, 104 rue de Vaugirard, 75006 Paris
Métro Montparnasse, Duroc ou St Placide
Alors que nos économies et sociétés sont en pleine transformation et connaissent des ruptures majeures, que les voies de réinvention nous obligent à puiser dans nos inspirations les plus globales (sociales, économiques, écologiques, culturelles, artistiques, spirituelles…), nos indicateurs de richesse principalement dominés par le Produit Intérieur Brut ne semblent pas évoluer et restent figés sur des schémas passés.
« Le PIB traduit une analyse de la réalité à travers un prisme particulier, exclusivement quantitatif, économique et dénué de considérations qualitative ou citoyenne, comme le niveau de santé, d'éducation ou d'engagement associatif, le degré de violence, l'intensité des inégalités socio-économiques ou encore la qualité de la pratique démocratique. » Patrick Viveret (webmagazine, 4 nov 2008)
Comment expliquer cette situation ? Comment se caractérisent les évolutions sociétales et comment impactent-elles dans notre rapport à la richesse ? Que voulons-nous faire de nos sociétés, sur quelles valeurs construire et quelles richesses comptent véritablement ? Souhaitons-nous rester sur des aspirations matérialistes de nos sociétés ou, au contraire, prendre en considération les notions de bien-être, remédier aux inégalités sociales, donner plus de valeur à l'immatériel (création, design, conception…) et prendre en compte les incidences environnementales des activités humaines pour ne citer que celles-là ?
En 2008, soit six ans après la parution du Rapport Viveret « Reconsidérer la richesse », le Président de la République Française sollicite des experts français et internationaux qui donneront naissance au « Rapport Stiglitz » sur la mesure des performances économiques et du progrès social. Cette démarche n'est pas uniquement française puisqu'au niveau international d'autres indicateurs sont développés comme l'indice du développement humain (Rapport mondial sur le développement humain, 1990), l'indice du bien-être économique développé par Osberg et Sharpe ou plus récemment le Bonheur Intérieur Brut déployé au Bhoutan. Les expériences en matière de nouveaux indicateurs de mesures, de création de monnaies, que cela soit dans des communautés présentielles ou numériques, des territoires ou des réseaux foisonnent.
Aujourd'hui, les sources d'inspiration et de réflexion sur ce sujet dépassent largement la seule perspective économique et sont portées par philosophes et sociologues. Mais alors comment expliquer que les questions d'indicateurs de richesses et de mesures économiques et sociales fassent l'objet de rapport mais ne soient pas prise en compte ? Comment valoriser les expériences foisonnantes, accélérer cette transition et à présent changer d'échelle ?
Le Panorama des Monnaies Complémentaires et Sociales sera exposé pendant ces deux jours par Fokus 21. Fokus 21 est un « circuit-court » de l'image qui produit, réalise et diffuse des outils photos et vidéos pour provoquer le débat public sur les enjeux du 21ème siècle. Cette association a été créée en 2005 par Sandra Blondel et Pascal Hennequin. www.fokus21.org
Marc Tirel ponctuera régulièrement les sessions par des animations collaboratives visant à recueillir les questions, opinions etc… tant de l'auditoire que des participants."

Involves UNIVERSITE INTEGRALE.

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Fwd: Alerte Google - michel saloff coste


Objet : Alerte Google - michel saloff coste

Web1 nouveau résultat pour michel saloff coste
 
ESTEVE house | MICHEL SALOFF COSTE GALLERY
Les gouaches de Michel Saloff Coste ont pris leur place dans la maison ESTEVE à ... The paintings of Michel Saloff coste found their right place in the house ...
saloffgallery.blogspot.com/2011/11/esteve-house.html



Fwd: RAPPEL : CONFERENCE 21OO N°145 - JEUDI 1er Décembre 2011 - Inscription Nécessaire !


Objet : RAPPEL : CONFERENCE 21OO N°145 - JEUDI 1er Décembre 2011 - Inscription Nécessaire !

 

 

Chère Madame, Cher Monsieur,

 

Je vous prie de noter ci-après l'annonce d'une prochaine conférence du soir de PROSPECTIVE 2100, le jeudi 1er décembre 2011 :

 

Conférence 21OO N° 145
Organisée en association avec La Société Hydrotechnique de France (SHF)
 

 

De l'eau pour tous les habitants 
de la planète
 
par
René COULOMB
Président d'Honneur de la SHF, Membre de l'Académie de l'eau.

 

L'eau nécessaire à la vie et pour laquelle il n'existe aucune ressource de substitution ne disparaît pas - à la différence des ressources en énergie fossiles par exemple - et la Terre dispose d'une quantité d'eau globalement suffisante (même en se limitant à l'eau douce, 97,5%de l'eau sur terre étant salée) pour satisfaire  les besoins en eau domestique et en eau pour l'agriculture d'une population mondiale de 7 milliards d'habitants qui atteindra 9 milliards d'habitants en 2050 pour se stabiliser ensuite à une dizaine de milliards d'habitants.
Il n'y a pas UN problème mondial de l'eau mais par contre de nombreux problèmes locaux et régionaux parfois très graves parce que l'eau disponible est très inégalement répartie dans l'espace et dans le temps.
Aussi assurer une eau saine pour tous les habitants de la planète, permettant d'éradiquer les maladies hydriques et de ne plus entraver le développement des pays les plus pauvres nécessite t'il une action de longue haleine dont la prise de conscience à l'échelle mondiale remonte seulement à la conférence de Mar del Plata (Argentine) en 1977.
Le défi peut être relevé malgré une situation catastrophique dans certains pays, notamment en Afrique et ce malgré l'exode rural et le développement incontrôlé de mégalopoles. On dispose des techniques nécessaires pour traiter les eaux les plus polluées, pour réutiliser les eaux usées pour tous les usages autres que l'eau potable, et pour si besoin est dessaler l'eau de mer et les eaux saumâtres (presque partout dans le monde la population se concentre près des côtes).Ce qu'il faut, c'est une volonté politique au niveau international et une solidarité entre les pays riches et les pays les plus démunis qui, pour la plupart, devront améliorer leur gouvernance et leur gestion de l'eau au niveau national et local.

 

Jeudi 1er décembre 2011 à 17h30

 

à l'ISEP - 28, rue Notre Dame des Champs - Paris 6ème
Métro : Notre Dame des Champs
Parking FNAC: 153 bis Rue de Rennes

 

Je vous prie de bien vouloir confirmer votre participation par retour de mail. Je vous remercie de votre coopération et vous prie d'agréer, Chère Madame, Cher Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments.

 

Lucien DESCHAMPS
Secrétaire Général

 

 

Nathalie DESCHAMPS – DJERMOUNE
 
Prospective 21OO

 



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Doit-on attendre quelque chose du mouvement des Indignés en France ? A voir les activistes qui cherchent à s'ériger entre les tours de la Défense, il est légitime d'en douter.
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Plongée dans le flou artistique des Indignés

Publié le 24/11/2011 à 05h26

Doit-on attendre quelque chose du mouvement des Indignés en France  ? A voir les activistes qui cherchent à s'ériger entre les tours de la Défense, il est légitime d'en douter.

Océane participe au mouvement des indignés à Strasbourg. Elle m'a confié  :

« Ce qui me dérange, c'est la beauté et la difficulté du parcours démocratique. Tout le monde veut parler, et il y a un tel besoin d'expression qu'on n'arrive pas à agir encore. C'est surtout une prise de conscience… »

A l'écouter, on comprend vite que les Indignés rejettent en masse toute affiliation à un mouvement associatif, syndicaliste ou politique. La résistance s'exprime en revendiquant le pouvoir pour le peuple. Un positionnement que me confirme Catherine, Indignée parisienne  :

« Ce qui revient tout le temps en assemblée générale (AG) c'est ceci : le mouvement est horizontal, sans leader, sans appartenance politique, loin des associations ou des syndicats. Les Indignés c'est les 99% contre le 1% (slogan lancé par occupywallstreet, repris partout désormais).

La prise de parole par le peuple est omniprésente. Un micro ouvert en permanence, avec des temps de parole d'environ trois minutes, gérés sur liste d'attente. On met l'écoute au premier plan : personne ne coupe la parole, le public assis communique avec des gestes (les mains en l'air faisant les marionnettes signifient je suis d'accord ; les bras croisés en l'air, pas d'accord, etc.), parfois des huées (souvent pour souligner un rapport contre les 1%, le CAC40 ou même les forces de l'ordre). »

Pour elle, les revendications sont claires  : on en appelle à une «  réelle démocratie  », à l'image des « indignados », tout en utilisant des modes d'action non violents – en témoignent l'usage de cœurs rouges omniprésents chez les Indignés français, utilisés pour accompagner la chanson « Qu'est-ce qui vous fait battre le cœur ». Le message principal  ? Nous ne paierons pas votre crise.


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