Dialogues - Des clés pour comprendre
Une recherche pour les énergies de demain
Date : jeudi 27 janvier 2011 - Horaire : 18 h 30 - 20 h 00
Contact : inscriptions au 01 53 01 82 70 ou à conferences@arts-et-metiers.net
Lieu : Amphithéâtre Abbé Grégoire
Entrée par le Musée des arts et métiers
60, rue Réaumur
75003 Paris
Métro : Arts et Métiers ou Réaumur-Sébastopol
Bus : 20, 38, 39, 47
Entrée libre dans la limite des places disponibles
L’épuisement des ressources énergétiques fossiles et les conséquences de leur utilisation sur le réchauffement climatique, l’environnement et la biodiversité impliquent aujourd’hui de se préoccuper d’urgence de l’exploitation de nouvelles sources d’énergies qui répondent aux critères d’un développement durable raisonné.Contact : inscriptions au 01 53 01 82 70 ou à conferences@arts-et-metiers.net
Lieu : Amphithéâtre Abbé Grégoire
Entrée par le Musée des arts et métiers
60, rue Réaumur
75003 Paris
Métro : Arts et Métiers ou Réaumur-Sébastopol
Bus : 20, 38, 39, 47
Entrée libre dans la limite des places disponibles
L’éolien, le solaire, l’énergie issue des marées et des vagues, l’usage de la biomasse, ne suffiront pas, à terme, pour répondre aux exigences d’une demande croissante. Les recherches dans ce domaine s’orientent vers de nouvelles pistes où la chimie, les sciences des matériaux et la biologie explorent des champs innovants. Ces recherches ouvrent des perspectives d’applications dans les processus de stockage de l’hydrogène, dans la mise en œuvre de matériaux nouveaux utilisables pour la construction de piles à combustible et de batteries, et pour la conception de systèmes thermoélectriques…
Des recherches récentes montrent la possibilité d’obtenir une nouvelle source d’énergie électrique en utilisant la photosynthèse d’un cactus !... Une « biopile » innovante qui pourrait révolutionner l’innovation dans le domaine des dispositifs thérapeutiques.
Ces avancées récentes et leurs conséquences sociétales seront présentées par Fabrice Mauvy, professeur à l'université Bordeaux 1, Institut de chimie de la matière condensée de Bordeaux et Nicolas Mano, chercheur au Centre de recherche Paul Pascal/CNRS.
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